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Vous avez dormi cent ans... vous vous réveillez et vous découvrez un nouveau monde, votre univers proche, chez vous, votre ville, ses habitants, leurs moyens de transports, leurs habitations, quel métier font ils? Etc...

 

Je me réveille d 'un long, très long sommeil. Il est l h'eure de me lever et par curiosité, je regarde par la fenêtre. Ciel! que se passe t'il? Combien de temps ai-je dormie? Dans ma rue, tout est changé. Les maisons ont laissé la place à des immeubles à l'aspect étrange, surnaturel. Et sur la chaussée, passe le tramway. Je passe à la salle de bain, me regarde dans la glace. Non dans ma physionomie, rien a changé, je suis toujours la même, je prends mon petit dèjeuner, me prépare et sors dans la rue. Je ne me suis pas trompée, le tramway passe bien dans ma rue. Les rails brillent entre les pavés, je descend jusqu'au boulevard, cherche des yeux le magasin où je vais d'habitude. Il a disparu pour laisser la place à un autre supermarché, plus grand,où je me rends de ce pas.

Devant moi passent quelques voitures, silencieuses, rapides. De loin en loin, des bornes permettent de les recharger. Bon! Je devine que les voitures comme le tramway sont électriques. Plus bas, il y a un garage où elles peuvent être réparées si elles tombent en panne. Mes courses finies je reviens sur mes pas et dépose mon sac dans l'escalier puis monte la rue. La pharmacie est toujours là avec à côté un laboratoire d'analyses. Plus haut, il y a des boutiques et  l'arrêt du tramway. Et sur le boulevard Soubeyran, tout a changer de place. La poste est encore là, transformée, modernisée. Le Foirail est vide, l'on aperçoit  l'entrée d'un parking souterrain et un peu plus loin la médiathèque qui remplace la bibliothèque et la salle des fêtes elle auissi rénovée, transformée.

Je descend le boulevard et arrive à la mairie. Surprise ! à la place de l hôtel de ville se dresse une tour immense, un gratte-ciel, le mot "mairie" est écrit en lettres géantes sur la façade, je traverse et reviens chez moi, toute étonnée.

                                                                           

                                                                                MICHELE

 

                       LES 5 SENS:

Je voudrais voir tous les pays du monde, les mers, les terres, les océans et tous leurs habitants. Je voudrais voir d'autres planètes, je voudrais voir la lune, je voudrais voir les dunes de mars.

Je voudrais sentir les fleurs tropicales et l'eau des caraibes. Je voudrais sentir un champs de cacao, l'odeur du sirroco.

Je voudrais toucher la fourrure d'un tigre, une pierre de lune.

Je voudrais entendre les cigales en été quand le soir est tombé, je voudrais entendre les premières gouttes de pluie qui tombent sur le sol quand l'averse commence.

Je voudrais goûter un diner dans un restaurant gastronomique, trente plats différents aux saveurs combinées sucrées, salées, acides, amères et épicées.

                                                                             

                                                                                  CELINE

 

Je voudrais voir les jolies femmes

Je voudrais sentir l'odeur du pastis

Je voudrais toucher une main

Je voudrais entendre Dieu sur le Mont Sinai,

le bruit des vagues

Je voudrais goûter l'eau salée de l'océan

 

                                                                              LOIC

 

Je voudrais voir les Etats Unis (et leur nouveau président!!) , Washington, N.Y, Los Angeles et même les petits états du pays au pays.

Je voudrais sentir l'odeur d'un bon repas ce soir en rentrant avec vous, les plats que j'assure : salade chèvre chaud, poulet au curry !

Je voudrais toucher les nuages, ça a l'air d'être doux comme du coton.

Je voudrais entendre à nouveau la voix de mon grand père

Je voudrais goûter des crêpes nutella-chantilly ! et une boule de glace à la vanille

Je voudrais go^ter du caviar ( je n'en ai jamais mangé !)

 

                                                                             YOLAINE

 

LAISSONS NOUS ALLER A LA POESIE...EN VOUS SERVANT DES VERS PROPOSES SI VOUS LE SOUHAITEZ, REDIGEZ UN POEME.

 

Il y a le beau temps

Souvent des nuages

Il y a des enfants

Jamais sans pleurages

La pluie est sage

Je la sent sur la main

Un matin de vernissage

Alors là quel chagrin !

Hier j'ai vu un rapace

Demain j'y retournerais

Au loin sur la place

Souvent je le voyais

Il y a là l'amour d'un métier

Souvent cet aigle passé

Il y a là posé sur mon bras

Jamais deux cent trois mais au moins une fois

 

                                                                               OLIVIER

 

Il y a des poetes qui

Souvent nous font rêver

Il y a des écrivains qui

Jamais ne finissent leurs histoires

La pluie éfface l'encre

Je me noie dans l'absence

Un matin en parcourant mes livres

Alors surgie l'ombre d'un conteur

Hier lectrice

Demain poete rêveuse

Au loin un peu d'espoir

Souvent en carressant des pages

Il y a la beauté des paysages

Souvent le soleil et les nuages

Il y a cet espace infini et bien sage qui

Jamais ne fini en chanson.

 

                                                                           SANDRA

 

 

Vous (ou le personnage de votre choix ) êtes en croisière sur le Maréva...bateau de luxe...voyage gagné à la super tombola hyper u...mais voilà, le bateau va couler au beau milieu du pacifique, racontez la suite.

 

L'alerte est donnée on demande aux passagers de se rendre sur le pont, c'est la panique alors que Jean range tranquillement une petite malette, il ne s'afolle pas, il fait parti des machinistes pendant que tout le monde s'afolle et que on leur demande le calme. Jean descend dans les cales, tout est normal c'est une alerte d'essai, voilà qu'après leur avoir apris la nouvelle, les gens retournent à leur activités, et Jean veille aux machines.

 

                                                                                      SAMUEL

 

 

Oui-Oui alla voir Pimprenel le capitaine du bateau. Celui ci avait déjà pris les devants en envoyant un pigeon porteur de message pour avertir Moby la grande baleine bleu ou une de ses consoeurs qui se trouvait aux alentours. Le bateau prenait l'eau sur le flanc droit. L'avarie n'était pas importante. Gédéon le grand requin scie qui était rentré d'une soirée arrosée, pressé de regagner ses pénates, n'avait pas vu le bateau et n'avait pu éviter la collision. Le fait que l'appendice nasal de l'animal était resté coincé dans le bateau avait permi à la baleine Moby d'arriver à la rescousse avant que le bateau ne coule complètement. Les participants s'étaient organisés et réparties les tâches. Mickey qui avait été en mousse au début de sa carrière fut d'un grand secour. Les enfants et les femmes furent évacués les premiers, puis ce fut tour des hommes. Moby aidée de ses consoeurs déposa les passagers sur la terre ferme la plus proche, c'est à dire au pays des merveilles. Alice et ses amis prendraient soins d'eux et leur fournieraient un bateau tout neuf afin qu'ils nagent vers de nouvelles aventures. 

                                       

                                         MOHAMED 

 

 

J'étais sur ce bateau de la S.NC.M je me reposais en deuxième classe...C'était agréable ...Le ciel, le soleil et la mer. Je me reposais sur un transat quand on m'a alerté...Le bateau allait couler...

" Pas grave " dis-je, " la S.N.C.M est en grève ! " Nous n'avions pas quitté le port de Porto-Veccho. Tout autre chose, Ferdinand m'a dit : " cela dit, Dinand à la nage c'est pas de la tarte..." 

Melon et Melèche sont dans un bateau. Melon le quitte et Melèche l'habite.

 

                                                                                     NATHANAEL

 

L'alerte se mit à retentir sur le bateau, je me hâte sur le pont pour observer le chamboulement, il fait beau dehors et sur la mer. Je me rentre dans ma cabine respective après avoir observer ce chamboulement. Des vagues hautes carressant le bateau de la Marèva, faisant tituber ce bel engin aquatique. Une fois arrivée dans ma cabine je me change de vêture, je vet une tenue de plongée au cas où les vagues retourneraient mon seul habitat, c'est à dire Marèva. Par ma fenêtre je vois des gens sur le pont s'afoller et crier tout en s'écrasant et se piétinant entre eux. Je ne suis pas seule. Les vagues géantes bousculent Marèva, ça continu sans s'arréter, Marèva chavire côté gauche, là où se situe ma cabine, je tremble de peur en me racrochant à ce que je peux. La foule dehors garde un moment de silence en les voyant de la fenêtre je me dit qu'il me faut être avec eux, eux qui s'afollent... Je me mit à les rejoindre après avoir enfiler ma tenue de plongée. En passant sur le pont qui restait en position oblique je récupéras quelques bouées bien gonflées, de couleur orange, peutêtre notre dernier moyen de survie. Quelques minutes passérent et Marèva se redressa sur les flots; enfin droite et errante sur cette belle mer bleu sombre entourée de rayons de soleil. J'eus le souffle coupé, au loin j'aperçue l'arrêt des vagues, j'étais avec la foule bruyante et silencieuse à la fois. Je fis la connaissance d'Yvette, une dame de 60 ans, elle disait faire sa 5 ème croisière sur le Marèva, elle n'avait jamais vu autant de vagues s'agiter autour de ce bel engin...elle me surnomma "la plongeuse" à cause de ma tenue de plongée. Je lui tendis une bouée en lui disant que si le bateau chavirer elle devrai sauter à la mer. Elle me remerçia, me serra la main chaleureusement...Le jour passa et la mer fut calme, moins agitée. Yvette et moi jouons au scrabble jusqu'à la fin de notre escale aquatique.

   

                                                                                          Sandra 

  

 

 

 

CHANGEONS D'EPOQUE...NOUS SOMMES A LA PREHISTOIRE...QUEL EST VOTRE QUOTIDIEN, RACONTEZ DANS LE DETAIL LES EVENEMENTS QUI JALONNENT VOTRE JOURNEE, DU LEVER AU COUCHER. ( SI LA PREHISTOIRE NE VOUS INSPIRE PAS, CHOISISSEZ UNE EPOQUE QUI VOUS CONVIENT ) 

 

Nous sommes au temps des premiers hommes ( hommes et femmes femmes ).

 Le quotidien est la recherche de la nourriture et de la protection de soi-même par une peau d'animal. Nous sommes armés de lances et couteaux fabriqués avec du bois et des pierres affutées.

Nous sommes en groupe pour essayer d'activer le gibier dans un piège. Une fois le gibier pris au piège nous le tuons avant de le découper avec nos outils préhistoriques, de le manger cru si c'est possible ou de l'enfourcher sur un feu de bois pour le cuire avant de le manger avec nos mains et nos dents même à moitié pourries.

 

                                                                                                                  GERARD

 

C'est le temps où n'existait pas la télévision, internet où s'instruire à travers les livres été courant. Je me vois en 1900, dans un cabriolet tiré par des chevaux puissants et bien portants. Je me lève de ma couchette faite de foin et de paille pour matelas, je déjeune du café moulu gaiement par une petite manivelle qui me donne un jus noir je mélange de la cassonade en poudre. Après ce déjeuner je me prépare en m'habillant d'une robe de coton pour aller couper du bois dans la forêt toute la journée.

 A 18h : la douche. Ce sera un bain dans la rivière une retenue d'eau avec du savon noir pour me décrasser le corps.

Voici que mon mari se rentre à la maisonnée en bois, il se rentre de la ville après avoir été forgeron toute la journée dans la ville voisine. Habillé d'un chapeau, d'une chemise en coton et d'un jean's bien sale et de guêtres...

Je me mis à préparer le repas, ce sera : puré de pommes de terre et sardines de la rivière, pêchées un jour avant par mon mari, préparé sur un poèle alimenté par du bois sec de la forêt voisine.

Le seul repas de la journée par souci d'économie car mon mari et moi sommes pas très riches, mais nous restons des gens modestes financièrement. Le soir nous nous couchons à 20hà la tombée de la nuit car nous avons très peu de lumière. Nous vivons sans eau chaude, ni électricité.

Nous vivons ensemble sans enfants, avec deux chiens, trois vaches pour le lait les fromages que nous fabriquons,   quatre chevaux heureux...Nous sommes bien heureux ainsi.

 

                                                                               SANDRA

 

 

La lettre cachée

Choisissez un personnage, ce jour là sa vie change...il (ou elle) vient de tomber sur une lettre, découverte sous une pile de draps, dans un tiroir secret, pliée en tout petit au fond d'une boite à bijoux, ou dans un vieux paquet de cigarettes...écrivez cette lettre et ses révélations !

 

Une jeune fille Annabelle d'une quinzaine d'années alla dans le grenier de sa grand-mère elle y trouva une trés belle boite en bois qu'elle ouvrit. Elle y découvrit une lettre jaunie par les années. Elle déplia soigneusement et la lu.

   Ma chére Gertrude,

je t'écris depuis le front, la bataille fait rage, des blessés par centaines, des morts aussi. Je tiens le coup en penssant à nos rendez-vous ensemble, les beaux moments passés en ta compagnie, les étés au bord de la mer, l'automne où les feuilles changent de couleurs, l'hiver avec sa neige et le printemps quand les fleurs font leur apparition. Ici c'est gris, boueux. Mais en regardant ta photographie mes journées et mes nuits sont belles.

Prend soin de toi, avec tout mon amour

                                 Alfred

 

                                                     VIRGINIE    

 

Ma chérie,

       je veux aujourd'hui t'avouer quelque chose: tu n'es pas ma fille. Nous t'avons adoptée quand tu avais trois ans. Ca s'est passé d'une curieuse façon. Nous étions en vacances en Bretagne quand un jour une femme a frappé à notre porte. Elle portait sur son dos une enfant, une petite fille toi, ma chérie et nous a supplié de te garder. Elle ne le pouvait pas, étant une de ces "loot people", venue du lointain Cambodge...ou peut-être du Vietnam, je ne sais plus trés bien.

Bien entendu, nous avons accepté, mais à la condition de t'adopter, et papa a tout de suite fait les démarches nécessaires. Il a fallu beaucoup de temps et aussi et aussi de démarches pour avoir l'autorisation de te garder d'abord, de t'adopter ensuite. Et quand ça s'est fait et que nos démarches ont abouties, nous étions trés contents. Tu étais enfin notre enfant et ta vie allait se passer avec nous jusqu'à l'âge auquel nous devions te dire la vérité. 

Mais nous n'avons eu, papa et moi, pas le courage de te le dire, cette vérité ! Et aujourd'hui, à presque trente ans, tu vas peut-être l'apprendre par une indiscrétion. J'en tremble. Si tu allais nous en vouloir? Nous demander des comptes?...Ma chérie, ne m'en veux pas, c'est l'mour que nous te portons qui nous a fait commettre cette erreur, et sois bien assurée que quoique tu dises ou fasses, nous t'aimerons toujours.

                    

                                                                                             MICHELE

 

 

Lucas 27 ans, fumeur depuis 10 ans vient de Londre il est cariste, il travaille chez Malboro une entreprise ou il y a 50 voir 100 salariés. On est lundi il fait beau, les oiseaux chantent, bref tout va bien pour Lucas, jusqu'au jour où il décide de prendre le vélo pour aller travailler au lieu de prendre la voiture. 50 mètres, 100 mètres, 200 mètres, 300 mètres, etc...

Au loin il vit un paquet de Malboro, comme par magie, ce paquet n'est pas comme les autres, dedans il y a, non pas des cigarettes mais une petite enveloppe où il y a écrit ceci:

" la vie on t'a donner, la mort tu as trouver " 

Lucas se mit à rigoler en lisant ce message il prit l'enveloppe et se met à la déchirer et la jeta parterre. Arrivant au travail il dit à ses collègues le message qu'il a trouvé parterre. Ses collègues se mirent à rigoler ainsi que Lucas mais pourtant, 2 mois après Lucas parti au travail sur son vélo, et en arrivant sur son lieu de travail, il commençait à tousser mais de plus en plus fort, manquant de respiration et tomba au sol. Le chef voyant ça se précipita à appeler les secours. L'ambulance arriva sur les lieux en 10 minutes. Lucas est amener à l'hôpital, sa famille, ses amis sont tous réunis et apprirent que Lucas était décédé d'une crise cardiaque.

" Tout ça pour dire que la cigarette n'est pas bon pour la santé, mais ne prenez pas ça pour vous messieurs, dames les fumeurs, car ceci n'est qu'un atelier d'écriture."

 

                                                                                            OLIVIER

 

  Dès que la reine Margiane, qui avait son palais du côté de la mer, vit que le voilier était parti, elle s'empressa de courir auix cuisines retrouver Enora, la cuisinière. Maintenant que le bateau était parti, la reine Margiane avait bien des regrets...

 

 L'histoire se passe à Cork, en Irlande. Margiane, le soir, appréciait bien lire auprès de la cheminée. Elle appelait quelques fois le valet Gérald, qui lui apportait le thé et quelques gâteaux. ce soir-là, il pleuvait et la reine se sntait d'une humeur maussade. Gérald fut invité à boire le thé. Ainsi, ils parlèrent longtemps.

Gérald scrutait discrètement les boucles blondes de la reine ety essayait de deviner la couleur de ses yeux ( gris ou vert ou les deux ). Quelques jours plus tard, la reine  alla le retrouver dans le jardin, car elle avait appris sa passion pour les fleurs et le jardinage. Enora, la cuisinière était la confidente de Gérald. Il lui dit qu'il éprouvait de l'amour pour la reine. 

"Tu ne te rend pas compte, lui dit-elle, tu as 29 ans et elle en a cinquante". Mais Gérald était un bel homme et la reine le trouvait à son goût. Son coeur était partagé entre l'amour de son mari souvent absent et Gérald. Elle changea vite de comportement et Enora s'en aperçut. Elle chantait en ouvrant les fenêtres, courait dans les champs après sa fille qui avait cinq ans. Elle faisait des tartes aux pommes, mangeait des bonbons, bref tout ce qu'elle ne faisait pas d'habitude. Enora était peu fière de sa reine puérile. Gérald devenait meilleur jardinier de jour en jour.

 Son frère, Paul l'appela pour qu'il soit au service d'une famille française riche. Gérald accepta, fuyant l'amour impossible avec la reine. Et le jour où le voilier prit la mer, Margiane pleura et en bien des regrets.

 

                                                                                                     CORINE 

 

Margiane, reine de Sabat vit un voilier partir au loin dans l'océan vers une destination inconnue.

 Elle se fige quelques instants devant la fenêtre et se demande quel est l'intrus qui venait de partir.

Elle fit le tour de la maison. En plus, la veille, elle eut une petite dispute avec son mari et c'est peut-être lui qui est en mer et qu'elle   ne reverra jamais plus. Et oui, c'est bien lui qui vague,et elle eut bien des regrets car ce n'est pas une petite altercation qu'on se met en leur. Elle se demande si il va pas rejoindre une de ses autres femmes pour faire discorde. Pour faire, il ne faut pas se leurrer car en Orient c'est facile de voir un mari avec plusieurs femmes. Donc ce n'est pas sans regret que Batman est parti, car lui aussi il mène avec un certain dégoût sur la vie de la reine.

            

                                                                                                  PATRCK

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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