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Sensation chocolat

 

Ce que je ressens en dégustant ces petits chocolats en forme de poisson, de coquillage... C'est du plaisir . Mes papilles s'affinent en croquant dedans. Juste cette sensation amère chocolaté. Hum c'est bon, ça glisse sur les poils de ma langue. Mes dents sont inondées d'un jus amer chocolaté. Ma salive obstrue ce poisson qui ne peut nager tranquille, juste glisser. Arrive ce coquillage à ma bouche, un souvenir de goût de sucette me vient, sucrée en forme arrondi ce coquillage se laissa prendre dans mes filets. Sur mes lèvres ce goût de sucre, de lait, de cacao sucré. Bon pour ma pêche en ligne et ce petit poisson qui sorti de son emballage plastifié que tout le monde autour de la table se partage. Oui c'est Pâques et le partage de choco-paques est important à cette période.

Sandra 

Joliment emballées dans un sachet transparents, poisons, coquillages, crevettes, le tout en … chocolat, pas d'heures pour en déguster, bon, nature, avec pain plus beurre . Cette explosion de saveurs l'amertume du cacao, la douceur du crémeux quand le chocolat le chocolat fond doucement dans la bouche, le calme qu'il donne, les souvenirs aussi, chocolat café, café chocolat, gâteaux chocolat, bonheur de chocolat, pleins les mains dans la chocolaterie cantaloup pleins les yeux aussi, quand il coulait dans les petits moules en forme d'animaux ;

 

Un dans le sachet puis deux peut être et...un pour moi, j'avais seize ans je la connaissais par cœur la chocolaterie cantaloup, j'y travaillais de tout mon âme et avec amour...du chocolat bien sûr.

Marilyn

 

 

C'est un poisson en chocolat. Il a la gueule ouverte, des nageoires sur le dos et sur le ventre et une queue. Il me rappelle les bonbons en chocolat qu'on allait chercher sur le balcon de nos grands parents. Il a un goût un peu amer, assez fort, comme celui du chocolat noir que je mangeais tous les soirs t que j'ai abandonné pour le chocolat au lait à cause de mes dents. J'en ai le goût dans la bouche, sur la langue, dans le palais. Ça me rappelle le temps de mon enfance où nous cherchions les œufs, les cloches, les poules en chocolat. C'était à la Pompignane, ou nous habitions, avec Pierre, François et Laurent. Nous fouillions les taillis, les buis pour trouver ces trésors .

Michèle

Ça ressemble à un poisson au chocolat. Ça a un goût sablé comme un gâteau que je mange parfois au GEM. Aujourd’hui j’évite de manger du chocolat, mais, enfant, j’aimais le chocolat et j’en mangeais beaucoup, aux anniversaires, aux fêts de Noël. C’était dans un centre avec d’autres enfants de mon âge, neuf ou dix ans, et on nous offrait des paquets de papillottes.

 

Didier

Autres suggestions d'écriture

 

Tant de mémoire dans ce petit crâne aucunement dégarni.Une mémoire de savant.Cet éléphant posé sur cette cheminée, objet de décoration, brillant, luisant en cuivre posé sur un socle en ébène se souvient de tous les regards de ces passants. Un maison isolée en pierre. Avec pour seule route un sentier caillouteux. Tant de cailloux que les pneus d'une 4 L n' tiendrait pas. Cet éléphant à lui même tenu dans le coffre d'un 4x4, il s'est accroché comme il a pu. Ce jour là c'est un emballage en polycirene qui le retenais sur ce sentier caillouteux. Il se souvient alors que ça fait 40 ans qu'il est là posé sur cette cheminée. Sans aucun mépris pour la femme de ménage qui le dépoussière au plumeau. Il ri par ce que ça le chatouille. Son socle en ébène ressort noir après être rester trois semaines sans ce miracle. Son propriétaire est content de l'avoir tant de fois caresser, tutoyer, déplacer...

 

Sandra

Il y a pourtant tant de choses à faire, je pense trop, pour avancer librement dans ce monde ici.

Il y a pourtant des hommes et des femmes prêts à tendre la main, mais sans doute trop peu de vraiment sincères et confiant.

Il y a pourtant des endroits de partage et d'amitié pour relever la tête et connaître du monde pour savoir la vie.

Il y a pourtant une porte ouverte pour y voir plus claire et plus loin.

Il y a pourtant quelque chose en toi qui te fais avancer et t'aide à trouver.

Il y a pourtant la solution

Il y a pourtant... toi

 

 

Marilyne

 

Il me fit fermer les yeux et glissa sur mon cou, un joli collier de coquillages blancs, je les glissai entre mes petits doigts, les uns après les autres, comme on égraine un chapelet.

Encore maintenant, parfois, que je l'appelle à mon secours.

Il glissa sur mon cou, un joli collier de coquillages blancs, une réalité, un souvenir, un avenir.

Il glissa sur mon cou, nos vacances espagnols et tant de souvenirs qu'un petit cœur d'enfant ne peut en contenir, il m'élève, il me forge, crée mon avenir.

Père, tu glisses sur mon cou un joli collier de coquillages blancs comme encré dans mon âme. Il éclaire ma vie.

Marilyne

 

Or, maintenant si j'ai du plaisir, c'est que je fais ce que j'aime le plus. Et ce que j'aime le plus, c'est lire, et je lis beaucoup. Tout ce qui me tombe dans les mains, que ce soit des récits de voyages, des biographies, des romans...

Or maintenant si j'ai de la peine, et parfois ça m'arrive, je m'efforce de penser à autre chose, quelque chose que j'aime qui me fait plaisir et me fait oublier mon chagrin.

Or maintenant si j'ai du bonheur, j'aime à le partager avec les autres, ma famille, mes amis, mes camarades du GEM.

Je me souviens d'une robe bleue qui se voutonnait devant et que j'ai portée longtemps. C'était une robe bleue qui avait une encolure en carré avec des boutons de haut en bas. Je la mettais l'été, dès que les beaux jours arrivaient, associée à des espadrilles bleues. C'était au temps de ma jeunesse, j'avais seize et j'étais heureuse de vivre. Pas de soucis, des distractions tout le temps, le bonheur.

 

Michèle. 

 

 

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